- EAN13
- 9782354123970
- Éditeur
- Presses Universitaires de Perpignan
- Date de publication
- 03/2021
- Collection
- Études
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La Méditerranée à feu et à sang
Poétique du récit de guerre
Paul Carmignani, Jean-Yves Laurichesse, Joël Thomas
Presses Universitaires de Perpignan
Études
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782354123970
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9.99
Les deux précédents colloques internationaux organisés par l’Équipe de
recherches VECT-MareNostrum - “Saveurs, senteurs : le goût de la Méditerranée”
et “Rythmes et lumières de la Méditerranée” - ayant privilégié l’image du
monde méditerranéen comme « machine à faire de la civilisation » (P. Valéry),
il était temps, pour équilibrer l’analyse et l’image que nous souhaitons en
donner, de prendre pour objet la Méditerranée belliqueuse et cruelle.
L’approche retenue pour cette nouvelle série de contributions s’inscrit dans
le cadre de la poétique (théorie généralisée de la littérature ou rhétorique
restreinte) ou mieux encore de la poiétique « le faire qui s’achève en quelque
œuvre » (P. Valéry). Elle nous conduira à examiner la spécificité du récit de
guerre et la démarche paradoxale de l’écrivain, ce « pense-phrases » (R.
Barthes), confronté à la gageure de rendre accessible au langage une
expérience a priori ineffable qui risquait fort d’être à jamais condamnée à «
l’aphasie du monstrueux » (J. Hervier).
recherches VECT-MareNostrum - “Saveurs, senteurs : le goût de la Méditerranée”
et “Rythmes et lumières de la Méditerranée” - ayant privilégié l’image du
monde méditerranéen comme « machine à faire de la civilisation » (P. Valéry),
il était temps, pour équilibrer l’analyse et l’image que nous souhaitons en
donner, de prendre pour objet la Méditerranée belliqueuse et cruelle.
L’approche retenue pour cette nouvelle série de contributions s’inscrit dans
le cadre de la poétique (théorie généralisée de la littérature ou rhétorique
restreinte) ou mieux encore de la poiétique « le faire qui s’achève en quelque
œuvre » (P. Valéry). Elle nous conduira à examiner la spécificité du récit de
guerre et la démarche paradoxale de l’écrivain, ce « pense-phrases » (R.
Barthes), confronté à la gageure de rendre accessible au langage une
expérience a priori ineffable qui risquait fort d’être à jamais condamnée à «
l’aphasie du monstrueux » (J. Hervier).
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