- EAN13
- 9782764424223
- Éditeur
- Québec Amérique
- Date de publication
- 10/09/2002
- Collection
- Littérature d'Amérique
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Jean Landry, professeur de photographie à l’Université du Québec à Montréal,
est retrouvé dans un état frisant la catatonie. Pourquoi ne réagit-il plus? Un
seul individu sait vraiment ce qui s’est passé. Il s’agit de Paul Garant.
Ainsi s’amorce le récit de l’ami qui raconte à Michèle, la fille de Jean, ce
qui a mené son père à cet état. Nourri par sa quête de savoir frisant
l’obsession, Paul lui raconte tout à l’aide des informations qu’il a glanées
dans le journal personnel de Jean et par ses propres observations. Il y a,
entre autres, cette histoire d’un étrange collectionneur qui s’est approprié
les photos, textes et documents de Jean et qui les a disséminés en les
revendant à des brocanteurs et des galéristes. Il y a aussi les difficiles
relations amoureuses de Jean. Même la marche, qui lui servait d’exutoire, ne
lui procurerait plus la tranquillité d’esprit si nécessaire à son équilibre.
Sentant qu’il ne s’appartenait plus, Jean a glissé dans un monde où la
paranoïa nourrissait son quotidien.
est retrouvé dans un état frisant la catatonie. Pourquoi ne réagit-il plus? Un
seul individu sait vraiment ce qui s’est passé. Il s’agit de Paul Garant.
Ainsi s’amorce le récit de l’ami qui raconte à Michèle, la fille de Jean, ce
qui a mené son père à cet état. Nourri par sa quête de savoir frisant
l’obsession, Paul lui raconte tout à l’aide des informations qu’il a glanées
dans le journal personnel de Jean et par ses propres observations. Il y a,
entre autres, cette histoire d’un étrange collectionneur qui s’est approprié
les photos, textes et documents de Jean et qui les a disséminés en les
revendant à des brocanteurs et des galéristes. Il y a aussi les difficiles
relations amoureuses de Jean. Même la marche, qui lui servait d’exutoire, ne
lui procurerait plus la tranquillité d’esprit si nécessaire à son équilibre.
Sentant qu’il ne s’appartenait plus, Jean a glissé dans un monde où la
paranoïa nourrissait son quotidien.
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