- EAN13
- 9782897128692
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 06/01/2023
- Collection
- Roman/Récit
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782897128692
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11.99 -
Aide EAN13 : 9782897128708
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Nadia Chonville entremêle les questions de genre et de filiation. Il n’est pas
question de rompre avec cette tradition mais de la réveiller, dans une œuvre à
la fois politique et poétique, Mon coeur bat vite est une critique du
colonialisme et du patriarcat. Une mise en garde plutôt : rien n’est pardonné.
– Nadia Chonville s’entretient avec Charline Guerton-Delieuvin dans Libération
La mémoire et l’héritage transgénérationnel sont au centre de ce récit porté
par une écriture précise, directe et sans fioriture. La poésie de la narration
côtoie ici un récit sombre et andré dans le crises auxquelles doivent faire
face les sociétés afro-descendantes. Colère, rage mais également amour,
compassion, espoir. C’est un roman puissant, une lecture envoûtante dont on ne
sort pas indifférent. – Élise Darche, Librairie Tulitu (Bruxelles), Initiales
Magazine La voix de Nadia Chonville porte son lecteur au cœur de la Martinique
actuelle, là où les traumatismes intergénérationnels ne sont pas bien loin et
où la patte du patriarcat a laissé des traces, tout comme l’oppression
coloniale. Le mélange de réalisme magique et de carnavalesque sied
parfaitement à cette histoire cruelle où un homme, pourtant bon, a soutiré la
vie de l’enfant de sa sœur, Édith. Cette dernière est la narratrice dont la
parole est puissante et qui erre entre les murs, épaulée par ses ancêtres,
pour comprendre secrets et mystères, non-dits et blessures. Pourquoi son
frère, né dans un corps de fille, souhaite-t-il ainsi venger les femmes de sa
lignée? – Josée-Anne Paradis, Revue Les Libraires Dans la lignée d’auteurs et
autrices tels que Maryse Condé, Nadia Chonville fait de son île, la
Martinique, un décor incarné de son récit. Sous sa plume, on découvre une île
peuplée de fantômes, dont les enfants fuient en nombre pour parfois ne jamais
revenir. Dans cette atmosphère gorgée d’esprits, les réalités se croisent et
se brouillent, comme les frontières entre le bien et le mal. Le ventre noué,
on cherche des réponses, on tente de comprendre, sans y parvenir. La dernière
page tournée, on sait aussi que l’on gardera longtemps les très fortes
émotions ressenties pendant cette grande lecture. – Toute La Culture
question de rompre avec cette tradition mais de la réveiller, dans une œuvre à
la fois politique et poétique, Mon coeur bat vite est une critique du
colonialisme et du patriarcat. Une mise en garde plutôt : rien n’est pardonné.
– Nadia Chonville s’entretient avec Charline Guerton-Delieuvin dans Libération
La mémoire et l’héritage transgénérationnel sont au centre de ce récit porté
par une écriture précise, directe et sans fioriture. La poésie de la narration
côtoie ici un récit sombre et andré dans le crises auxquelles doivent faire
face les sociétés afro-descendantes. Colère, rage mais également amour,
compassion, espoir. C’est un roman puissant, une lecture envoûtante dont on ne
sort pas indifférent. – Élise Darche, Librairie Tulitu (Bruxelles), Initiales
Magazine La voix de Nadia Chonville porte son lecteur au cœur de la Martinique
actuelle, là où les traumatismes intergénérationnels ne sont pas bien loin et
où la patte du patriarcat a laissé des traces, tout comme l’oppression
coloniale. Le mélange de réalisme magique et de carnavalesque sied
parfaitement à cette histoire cruelle où un homme, pourtant bon, a soutiré la
vie de l’enfant de sa sœur, Édith. Cette dernière est la narratrice dont la
parole est puissante et qui erre entre les murs, épaulée par ses ancêtres,
pour comprendre secrets et mystères, non-dits et blessures. Pourquoi son
frère, né dans un corps de fille, souhaite-t-il ainsi venger les femmes de sa
lignée? – Josée-Anne Paradis, Revue Les Libraires Dans la lignée d’auteurs et
autrices tels que Maryse Condé, Nadia Chonville fait de son île, la
Martinique, un décor incarné de son récit. Sous sa plume, on découvre une île
peuplée de fantômes, dont les enfants fuient en nombre pour parfois ne jamais
revenir. Dans cette atmosphère gorgée d’esprits, les réalités se croisent et
se brouillent, comme les frontières entre le bien et le mal. Le ventre noué,
on cherche des réponses, on tente de comprendre, sans y parvenir. La dernière
page tournée, on sait aussi que l’on gardera longtemps les très fortes
émotions ressenties pendant cette grande lecture. – Toute La Culture
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