Pages valaisannes
EAN13
9782940749737
Éditeur
FLORIDES HELVETES
Date de publication
Collection
POCHE SUISSE
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Pages valaisannes

Florides Helvetes

Poche Suisse

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782940749720
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    9.99

  • Aide EAN13 : 9782940749737
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    9.99

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« Si l’on ne trouve pas surnaturel l’ordinaire, à quoi bon survivre ? » La
fantaisie et les digressions de Charles-Albert Cingria nous emmènent, dans les
trois récits rassemblés dans ce recueil, sur les sentiers de montagne du
Valais. Pendeloques alpestres, Le parcours du Haut-Rhône et Ce pays qui est
une vallée sont autant d’occasion pour l’auteur d’exprimer son amour de la
nature, de la marche – et du vélo –, et de laisser libre cours à son
insatiable curiosité. Il entraîne avec lui le peintre Paul Monnier, dont les
croquis pris sur le vif illustrent Le parcours du Haut-Rhône. Publiés pour la
première fois entre 1929 et 1944, les trois textes réunis dans la présente
édition sont accompagnés d’une préface originale d’Anne Marie Jaton,
professeure émérite à l’université de Pise. L’auteur Charles-Albert Cingria
(1883-1954), né et mort à Genève dans une famille cosmopolite, a mené une vie
peu conventionnelle, préférant la marge à l’officialité, et poursuivant en
toute indépendance des recherches érudites sur le Moyen Âge et sa musique
notamment. Proche de Ramuz, il fait partie en Suisse de l’équipe des Cahiers
vaudois et d’Aujourd’hui. À Paris où il donne, grâce au soutien de Jean
Paulhan, d’étincelantes chroniques à La Nouvelle Revue française, son regard
décalé et la virtuosité de son style lui valent l’estime de Max Jacob,
Claudel, Cocteau et Jouhandeau. Charles-Albert Cingria (1883-1954), né et mort
à Genève dans une famille cosmopolite, a mené une vie peu conventionnelle,
poursuivant en toute indépendance des recherches érudites sur le Moyen Âge et
sa musique notamment. À Paris où il donne, grâce au soutien de Jean Paulhan,
d’étincelantes chroniques à La Nouvelle Revue française, son regard décalé et
la virtuosité de son style lui valent l’estime de Max Jacob, Claudel, Cocteau
et Jouhandeau.
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