- EAN13
- 9791032925928
- Éditeur
- Éditions de l'Observatoire
- Date de publication
- 07/06/2023
- Collection
- Hors Collection
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Ils ont surgi de la nuit
Quand les objets des victimes des camps nazis sont restitués à leurs familles
Élise Karlin
Éditions de l'Observatoire
Hors Collection
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Aide EAN13 : 9791032925928
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Comment rendre aux familles des déportés des objets confisqués il y a 80 ans
par les Nazis ? "D’un coup, le voyage s’est imposé à moi. J’ai pris le train
jusqu’à Dortmund et suivi le GPS de ma voiture de location jusqu’à Bad
Arolsen, une petite localité sur la route de la forêt rhénane. C’est là que
j’ai rencontré Nathalie Letierce-Liebig. Elle m’a raconté l’histoire des
Archives Arolsen qu’elle dirige, créées après la Seconde Guerre mondiale pour
retrouver les traces des millions de personnes disparues, déplacées ou forcées
à travailler pour le Reich. Destiné à durer quelques mois, cet organisme
continue de répondre aux demandes des familles. Depuis quelques années, une
grande partie des millions de documents sont accessibles en ligne, et Nathalie
Letierce-Liebig, avec son équipe du bureau dit “d’éclaircissement des
destins”, s’est vu confier une nouvelle tâche : restituer les effets
personnels des déportés. Une montre dont le bracelet en cuir noirci a
complètement séché, une chevalière patinée, un portefeuille craquelé, les
dents d’un peigne, un stylo en métal oxydé, un poudrier cabossé, une photo
d’identité, un cliché de vacances aux bords dentelés… J’ai décidé de raconter
ce travail de restitution des Archives Arolsen, de partager un récit tissé
avec les mots des témoins de ces passés ressuscités. Tous, ils œuvrent contre
l’oubli. Je me suis mise au travail. J’ai enquêté. Et l’aventure, très vite, a
pris une autre tournure…"
par les Nazis ? "D’un coup, le voyage s’est imposé à moi. J’ai pris le train
jusqu’à Dortmund et suivi le GPS de ma voiture de location jusqu’à Bad
Arolsen, une petite localité sur la route de la forêt rhénane. C’est là que
j’ai rencontré Nathalie Letierce-Liebig. Elle m’a raconté l’histoire des
Archives Arolsen qu’elle dirige, créées après la Seconde Guerre mondiale pour
retrouver les traces des millions de personnes disparues, déplacées ou forcées
à travailler pour le Reich. Destiné à durer quelques mois, cet organisme
continue de répondre aux demandes des familles. Depuis quelques années, une
grande partie des millions de documents sont accessibles en ligne, et Nathalie
Letierce-Liebig, avec son équipe du bureau dit “d’éclaircissement des
destins”, s’est vu confier une nouvelle tâche : restituer les effets
personnels des déportés. Une montre dont le bracelet en cuir noirci a
complètement séché, une chevalière patinée, un portefeuille craquelé, les
dents d’un peigne, un stylo en métal oxydé, un poudrier cabossé, une photo
d’identité, un cliché de vacances aux bords dentelés… J’ai décidé de raconter
ce travail de restitution des Archives Arolsen, de partager un récit tissé
avec les mots des témoins de ces passés ressuscités. Tous, ils œuvrent contre
l’oubli. Je me suis mise au travail. J’ai enquêté. Et l’aventure, très vite, a
pris une autre tournure…"
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