- EAN13
- 9791037022226
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 26/10/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9791037022226
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Le corps qui, à une certaine étape de l’histoire de l’humanité, fut frappé
d’un discrédit, voire d’un mépris total, est entré à la fin du XXe siècle au
centre de préoccupations multiples dont la signification, l’importance et les
implications sont diverses. En effet, l’une des caractéristiques du XXe siècle
fut un culte et une culture du corps au détriment de l’esprit longtemps
considéré comme la partie essentielle de l’être humain. Ce nouveau statut du
corps implique évidemment que le discrédit qui le frappait jusqu’ici ait été
levé. Ce faisant, on a ainsi acquis une somme importante de connaissances à
son sujet au point où l'on pense le connaître dans ses moindres coins et
recoins. Conséquemment, tout discours philosophique le concernant, comme ce
fut le cas jusque-là, devient prétentieux, et même une entreprise risquée
faite d’envolées lyriques n’ayant aucun lien avec la réalité. Pourtant, les
sciences biologiques, dans leur prétention de faire connaître le corps, n’ont
fait que dévoiler davantage de zones d’ombre sur et autour de cet objet.
Aujourd’hui plus qu’hier, un discours philosophique sur le corps est
nécessaire et ce discours ne peut se décliner que sous l’angle de la
phénoménologie. Ce à quoi se livre ici l’auteur.
d’un discrédit, voire d’un mépris total, est entré à la fin du XXe siècle au
centre de préoccupations multiples dont la signification, l’importance et les
implications sont diverses. En effet, l’une des caractéristiques du XXe siècle
fut un culte et une culture du corps au détriment de l’esprit longtemps
considéré comme la partie essentielle de l’être humain. Ce nouveau statut du
corps implique évidemment que le discrédit qui le frappait jusqu’ici ait été
levé. Ce faisant, on a ainsi acquis une somme importante de connaissances à
son sujet au point où l'on pense le connaître dans ses moindres coins et
recoins. Conséquemment, tout discours philosophique le concernant, comme ce
fut le cas jusque-là, devient prétentieux, et même une entreprise risquée
faite d’envolées lyriques n’ayant aucun lien avec la réalité. Pourtant, les
sciences biologiques, dans leur prétention de faire connaître le corps, n’ont
fait que dévoiler davantage de zones d’ombre sur et autour de cet objet.
Aujourd’hui plus qu’hier, un discours philosophique sur le corps est
nécessaire et ce discours ne peut se décliner que sous l’angle de la
phénoménologie. Ce à quoi se livre ici l’auteur.
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