Notre vie dans les forêts

Marie DARRIEUSSECQ

P.O.L.

  • Conseillé par (Libraire)
    24 octobre 2017

    Un monde s'écroule

    Voici une dystopie bouleversante.
    Une femme se raconte dans l'urgence. Où est-elle ? Quand cela se passe-t-il ? Les réponses arrivent, comme s'effilochant entre souvenirs et sourires, entre passé et présent, un présent "futuriste" où le monde s'écroule. Cette ancienne psychologue nous happe entièrement, détruite, et tentant de Raconter.


  • Conseillé par
    12 janvier 2020

    Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
    Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
    On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
    C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
    Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
    Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
    Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
    Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
    Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
    Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.


  • Conseillé par
    12 janvier 2020

    Dans un futur indéterminé, une femme psychologue est en fuite dans une forêt avec d’autres congénères.
    Elle écrit dans un carnet, sa vie, ses souvenirs, sa moitié…..
    On est dans un monde où les robots sont rois, où le clonage est une institution.
    C’est un monde impitoyable où règne l’intelligence artificielle, où la manipulation génétique est monnaie courante.
    Même si je ne suis pas fan de science-fiction, j’ai beaucoup aimé ce livre.
    Particulièrement le style, le ton, l’humour, la manière familière d’écrire dans le carnet.
    Comme ça, de prime abord, je l’aurais qualifié de court roman de science-fiction, ou d’anticipation.
    Mais après un rapide coup d’œil sur les autres commentaires, je vois qu’on dit maintenant « dystopie ». Wouah ! ça fait genre !
    Pratiquement tous les lecteurs utilisent ce terme. Et dire que je ne le connaissais pas. Quelle inculte je fais ! Mais c’est sûr, je le replacerai, rien que pour faire ma connaisseuse.
    Et même le correcteur d’orthographe, il ne connait pas. Ouf, il n’y a pas que moi.


  • Conseillé par (Libraire)
    17 décembre 2017

    Un style moderne, percutant et sensible au service de l'histoire déroutante et captivante d'une jeune psychologue qui prend place dans une société de plus en plus en plus angoissante et mystérieuse ...
    Maelenn, 15 ans


  • Conseillé par
    1 octobre 2017

    Le pire des mondes

    Marie Darrieussecq publie une dystopie qui n’est pas sans évoquer les précurseurs du genre, Ray Bradbury ou George Orwell : dans une société hyper connectée sous surveillance, les humains épuisent la terre et jouent aux apprentis sorciers. Mais c’est par son écriture pleine d’humour, sa narration de l’urgence et ses personnages originaux que ce roman se distingue.

    **Le monde de Viviane**

    La narratrice, qui se fait appeler Viviane pour brouiller les pistes, survit dans une forêt (pour combien de temps ?) avec une communauté de fuyards.

    Lire la suite de la critique sur le site o n l a l u