- EAN13
- 9782253089322
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 30/01/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782253089322
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Édition enrichie (Avant-propos, notes, chronologie et bibliographie)
Lorsqu'on s'avisa de réunir les textes qu'Alphonse Allais (1854-1905) avait
disséminés dans différents journaux pendant plus de vingt ans (à partir de
1883), presse humoristique (Le Chat noir, Le Sourire) ou « sérieuse » (Le
Journal, de Fernand Xau), on s'aperçut qu'il ne fallait pas moins de onze
tomes pour les contenir tous.
Dans ce volume, chacun des contes a été sélectionné pour illustrer un des
différents aspects de l'humour selon Allais. On y trouve des jongleries
verbales (« On dit «Francfort-sur-le-Mein» et «avoir le coeur sur la main».
Comment voulez-vous que les étrangers s'y reconnaissent ? »), qui mènent vite
au saugrenu (un « garçon sensible » refuse de faire crever le riz, d'exécuter
un travail, s'émeut de voir la nuit... tomber) ; des « charges » contre le «
bonhomme » La Fontaine, coupable, selon Allais, de répandre des idées pleines
de bon sens - ce qu'il a en horreur ; des contes construits sur les postulats
absurdes ; d'autres dans lesquels la logique est appliquée jusqu'à la
déraison, ou qui témoignent d'un humour grinçant...
Jules Renard, qui n'a jamais succombé à la complaisance, venait de découvrir
Mark Twain : « Cela me paraît fort inférieur à ce qu'écrit notre Allais ; et
puis, c'est trop long. Je ne supporte que l'indication d'une plaisanterie. Ne
nous rasez pas ! » Monsieur est servi.
Edition d'Alain Gaudard.
Lorsqu'on s'avisa de réunir les textes qu'Alphonse Allais (1854-1905) avait
disséminés dans différents journaux pendant plus de vingt ans (à partir de
1883), presse humoristique (Le Chat noir, Le Sourire) ou « sérieuse » (Le
Journal, de Fernand Xau), on s'aperçut qu'il ne fallait pas moins de onze
tomes pour les contenir tous.
Dans ce volume, chacun des contes a été sélectionné pour illustrer un des
différents aspects de l'humour selon Allais. On y trouve des jongleries
verbales (« On dit «Francfort-sur-le-Mein» et «avoir le coeur sur la main».
Comment voulez-vous que les étrangers s'y reconnaissent ? »), qui mènent vite
au saugrenu (un « garçon sensible » refuse de faire crever le riz, d'exécuter
un travail, s'émeut de voir la nuit... tomber) ; des « charges » contre le «
bonhomme » La Fontaine, coupable, selon Allais, de répandre des idées pleines
de bon sens - ce qu'il a en horreur ; des contes construits sur les postulats
absurdes ; d'autres dans lesquels la logique est appliquée jusqu'à la
déraison, ou qui témoignent d'un humour grinçant...
Jules Renard, qui n'a jamais succombé à la complaisance, venait de découvrir
Mark Twain : « Cela me paraît fort inférieur à ce qu'écrit notre Allais ; et
puis, c'est trop long. Je ne supporte que l'indication d'une plaisanterie. Ne
nous rasez pas ! » Monsieur est servi.
Edition d'Alain Gaudard.
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