Comme un cuivre qui résonne
EAN13
9782267023381
Éditeur
Christian Bourgois
Date de publication
Collection
Littérature étrangère
Langue
français
Langue d'origine
allemand
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Comme un cuivre qui résonne

Christian Bourgois

Littérature étrangère

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782267023381
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Ce nouveau recueil réunit douze nouvelles, chacune mettant en scène un
personnage principal qui vit un événement heureux ou malheureux – le plus
souvent les deux à la fois –, le temps de l’histoire. Une vie en raccourci, en
quelque sorte. Stamm campe ses personnages en quelques coups de crayon, d’une
acuité incroyable, avec toujours la même économie de mots. « La mélodie de
Stamm ressemble à ces symphonies alpestres d'apparence banale, sans relief
apparent, musicalement parlant. Cette banalité tient d'abord à une écriture
lisse, usant de phrases simples, élaguées, juxtaposées ou coordonnées, au
mieux. Les phrases glissent mais c'est ce mouvement limpide qui crée la
résistance ou le mystère. Il suffit d'un détail, d'une fin qui n'en est pas
une pour que commence quelque chose, une fois que tout est achevé. » (Norbert
Czarny, La Quinzaine Littéraire) « La mélodie de Stamm ressemble à ces
symphonies alpestres d'apparence banale, sans relief apparent, musicalement
parlant. Cette banalité tient d'abord à une écriture lisse, usant de phrases
simples, élaguées, juxtaposées ou coordonnées, au mieux. Les phrases glissent
mais c'est ce mouvement limpide qui crée la résistance ou le mystère. Il
suffit d'un détail, d'une fin qui n'en est pas une pour que commence quelque
chose, une fois que tout est achevé. » (Norbert Czarny, La Quinzaine
Littéraire) « Pour le lecteur habitué à l'art percutant de la nouvelle, la
prose en demi-teinte de Peter Stamm sème le trouble, au moins dans un premier
temps: ses nouvelles comme ses romans sont porteurs d'un tel dépouillement,
d'absence de travail visible sur le style, qu'il faut presque un temps
d'adaptation à l'oeil pour recevoir cette simplicité. [...] Dans l'économie de
mots, autour des absences et des non-dits, se révèle toute la bizarrerie de la
vie, sa drôle de vitesse, comme un train qui ne s'attrape jamais vraiment.
Comme un cuivre qui résonne serait dès lors toutes ces promesses jamais
tenues, mais vivantes en soi à chaque seconde, au bout desquelles une détresse
humaine bizarrement muette attend son heure. » (Emily Barnett, Les
Inrockuptibles)
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