- EAN13
- 9782818007785
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 16/09/2011
- Collection
- Poésie
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782818007778
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
11.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782818007785
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
11.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
«Langues à vif, dialectes oubliés, latin animal, grec de cirque, patois en
perdition ou néologismes jaillissants : le langage de Valère Novarina est
singulier. Du Discours aux animaux à L’Origine rouge, du Drame de la vie à
L'Opérette imaginaire, il donne à voir le verbe théâtral comme substance
charnelle, parfois douloureuse, souvent comique. Que voit-on sur scène? Les
acteurs chutent. Souffrent-ils vraiment? La passion qui s’offre devant nous
est-elle celle de l’acteur ou du langage? La parole est-elle notre matière
véritable – comme le bois pour Pinocchio? Sommes-nous en mots comme les
pantins sont en bûches? Sommes-nous les jouets de ce que nous entendons?
Comment se développe et s’explique dans l’espace, comment se déplie le tissu
respiré du langage? Comment le spectateur se souvient-il de l’envers des mots
et toujours du négatif de la scène précédente? Pourquoi l’acteur entre-t-il?
Que voit-on dans le langage? Rien? Toutes les choses? Est-il notre chair? Est-
il la matière même? Le langage est-il l’Acteur de l’Histoire? Retournant sur
les lieux de L’Origine rouge, Valère Novarina poursuit et précise sa recherche
d’un théâtre où le spectateur et l’acteur seraient agis par la force
“hallucinogène, salvatrice et terrifiante” des mots – et où sur scène, par
instants, la parole se verrait.» Pierre Notte.
perdition ou néologismes jaillissants : le langage de Valère Novarina est
singulier. Du Discours aux animaux à L’Origine rouge, du Drame de la vie à
L'Opérette imaginaire, il donne à voir le verbe théâtral comme substance
charnelle, parfois douloureuse, souvent comique. Que voit-on sur scène? Les
acteurs chutent. Souffrent-ils vraiment? La passion qui s’offre devant nous
est-elle celle de l’acteur ou du langage? La parole est-elle notre matière
véritable – comme le bois pour Pinocchio? Sommes-nous en mots comme les
pantins sont en bûches? Sommes-nous les jouets de ce que nous entendons?
Comment se développe et s’explique dans l’espace, comment se déplie le tissu
respiré du langage? Comment le spectateur se souvient-il de l’envers des mots
et toujours du négatif de la scène précédente? Pourquoi l’acteur entre-t-il?
Que voit-on dans le langage? Rien? Toutes les choses? Est-il notre chair? Est-
il la matière même? Le langage est-il l’Acteur de l’Histoire? Retournant sur
les lieux de L’Origine rouge, Valère Novarina poursuit et précise sa recherche
d’un théâtre où le spectateur et l’acteur seraient agis par la force
“hallucinogène, salvatrice et terrifiante” des mots – et où sur scène, par
instants, la parole se verrait.» Pierre Notte.
S'identifier pour envoyer des commentaires.