- EAN13
- 9782851977731
- Éditeur
- L'Herne
- Date de publication
- 02/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782851977731
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
173 pages
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
4.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Herne 9,60
Ses aventures amoureuses autant que ses opinions subversives vont conduire
Casanova à la célèbre prison de Venise, les Plombs. Celle dont on ne s’évadait
pas. Il réussira pourtant à prendre la fuite et trouvera refuge à Paris.
Profitant de l’appui de l’abbé de Bernis, devenu ministre de Louis XV, après
en avoir été l’ambassadeur à Venise, il mènera grand train, offrant à quelques
Grands et à leurs dames, ses services de conspirateur, d’espion ou de
diplomate. Il a su admirablement jouer, pour mener sa barque, des travers et
des ressources d’une société décadente et se servir des ambitions et des
vanités. Le monde qu’il observe, est celui des palais, des salons et des rues.
Il passe sans transition de la compagnie des souverains, des savants à celle
des prostituées. Il trouvera même le temps sinon d’inventer, du moins de
s’approprier une « loterie » (pour financer la construction de l’École
militaire, sans alourdir la fiscalité), ce qui lui assura une belle fortune.
Le personnage est là tout entier : séducteur, habile, souvent manipulateur,
parfois même un peu escroc, mais toujours attentif aux idées nouvelles qui
vont bientôt emporter le vieux monde.
Casanova à la célèbre prison de Venise, les Plombs. Celle dont on ne s’évadait
pas. Il réussira pourtant à prendre la fuite et trouvera refuge à Paris.
Profitant de l’appui de l’abbé de Bernis, devenu ministre de Louis XV, après
en avoir été l’ambassadeur à Venise, il mènera grand train, offrant à quelques
Grands et à leurs dames, ses services de conspirateur, d’espion ou de
diplomate. Il a su admirablement jouer, pour mener sa barque, des travers et
des ressources d’une société décadente et se servir des ambitions et des
vanités. Le monde qu’il observe, est celui des palais, des salons et des rues.
Il passe sans transition de la compagnie des souverains, des savants à celle
des prostituées. Il trouvera même le temps sinon d’inventer, du moins de
s’approprier une « loterie » (pour financer la construction de l’École
militaire, sans alourdir la fiscalité), ce qui lui assura une belle fortune.
Le personnage est là tout entier : séducteur, habile, souvent manipulateur,
parfois même un peu escroc, mais toujours attentif aux idées nouvelles qui
vont bientôt emporter le vieux monde.
S'identifier pour envoyer des commentaires.