- EAN13
- 9782890243705
- Éditeur
- Les éditions de la Pleine Lune
- Date de publication
- 12/08/2012
- Collection
- Plume
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Louise Aubert prend la décision de quitter Mathieu Lord quand celui-ci entre
au parti stalinien. Quinze ans plus tard, elle lui écrit une lettre dans
laquelle, avec lucidité et courage, elle ose exprimer sa vision de leur
histoire commune, marquée par l’absence de partage, l’autoritarisme et la
cruauté mentale, au nom de l’amour. Dans le récit qui suit cette lettre,
Louise se remémore, au fil des phrases notées dans ses cahiers, chacune des
séquences de sa rupture avec Mathieu et démasque la duplicité d’une avant-
garde intellectuelle. Poursuivant sa quête de langage inachevée, elle raconte
comment elle se réinsère dans la société, s’affranchit de la censure
intérieure et trouve sa liberté de dire. La Femme du stalinien est le dernier
roman d’une trilogie dont les premiers titres sont : L’Homme qui peignait
Staline [1989] et Les Apparatchiks vont à la mer Noire [2004].
au parti stalinien. Quinze ans plus tard, elle lui écrit une lettre dans
laquelle, avec lucidité et courage, elle ose exprimer sa vision de leur
histoire commune, marquée par l’absence de partage, l’autoritarisme et la
cruauté mentale, au nom de l’amour. Dans le récit qui suit cette lettre,
Louise se remémore, au fil des phrases notées dans ses cahiers, chacune des
séquences de sa rupture avec Mathieu et démasque la duplicité d’une avant-
garde intellectuelle. Poursuivant sa quête de langage inachevée, elle raconte
comment elle se réinsère dans la société, s’affranchit de la censure
intérieure et trouve sa liberté de dire. La Femme du stalinien est le dernier
roman d’une trilogie dont les premiers titres sont : L’Homme qui peignait
Staline [1989] et Les Apparatchiks vont à la mer Noire [2004].
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