- EAN13
- 9791020001924
- Éditeur
- Thriller Editions
- Date de publication
- 05/07/1905
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9791020001924
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Monsieur Guillaume, marchand drapier, successeur de Monsieur Chevrel et ami de
Jean-Jérôme Cardot, quoique riche et puissant vit dans l’austérité la plus
complète, approuvé en cela par son épouse et ses deux filles Augustine et
Virginie.
Cependant ce paisible négoce va être troublé par l’arrivée de Théodore de
Sommervieux, aristocrate, peintre, amoureux de la beauté en général, volage,
mais voué corps et âme à son art.
Lorsque l’histoire commence, Théodore est en admiration devant Augustine qui
apparaît à la fenêtre d’une vieille maison dans un vieux quartier de Paris.
Théodore semble ne plus pouvoir détacher son regard de ce portrait vivant.
Éperdument amoureux d’Augustine ou de l’idée qu’il se fait d’elle, il demande
sa main et l’épouse malgré les réticences de Monsieur Guillaume, et encore
plus de Madame, qui voit d’un mauvais œil ce changement de classe pour sa
fille. À juste titre car, les premiers feux de l’amour passés, Théodore ne
trouve plus aucune consistance à sa femme, qui lui paraît fade.
Théodore a besoin de sensations fortes. Il va les chercher chez une créature
cruelle, la duchesse de Carigliano, qu’Augustine vient ensuite supplier de
l’aider en lui donnant des recettes de séduction. Mais les conseils de la
duchesse n’ont aucun effet sur le comportement d’Augustine, qui dépérit et
meurt de chagrin.
Jean-Jérôme Cardot, quoique riche et puissant vit dans l’austérité la plus
complète, approuvé en cela par son épouse et ses deux filles Augustine et
Virginie.
Cependant ce paisible négoce va être troublé par l’arrivée de Théodore de
Sommervieux, aristocrate, peintre, amoureux de la beauté en général, volage,
mais voué corps et âme à son art.
Lorsque l’histoire commence, Théodore est en admiration devant Augustine qui
apparaît à la fenêtre d’une vieille maison dans un vieux quartier de Paris.
Théodore semble ne plus pouvoir détacher son regard de ce portrait vivant.
Éperdument amoureux d’Augustine ou de l’idée qu’il se fait d’elle, il demande
sa main et l’épouse malgré les réticences de Monsieur Guillaume, et encore
plus de Madame, qui voit d’un mauvais œil ce changement de classe pour sa
fille. À juste titre car, les premiers feux de l’amour passés, Théodore ne
trouve plus aucune consistance à sa femme, qui lui paraît fade.
Théodore a besoin de sensations fortes. Il va les chercher chez une créature
cruelle, la duchesse de Carigliano, qu’Augustine vient ensuite supplier de
l’aider en lui donnant des recettes de séduction. Mais les conseils de la
duchesse n’ont aucun effet sur le comportement d’Augustine, qui dépérit et
meurt de chagrin.
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