- EAN13
- 9791020369291
- Éditeur
- Éditions Baudelaire
- Date de publication
- 16/02/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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J'ai toujours préféré retour vers le futur
Voyage au pays des années 80
Stéphan Bourcieu
Éditions Baudelaire
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791020369291
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Papier - Baudelaire 18,00
Et si nous (re) plongions dans les années quatre-vingt ? Par la magie d’un
bond dans le passé inspiré des expériences de Marty McFly et de Doc Brown dans
Retour vers le futur, Stéphan Bourcieu nous renvoie quarante ans en arrière,
dans les années Mitterrand, pour nous faire revivre, les émissions de Michel
Drucker, les boums du mercredi après-midi, les clips de Mylène Farmer, les
dérapages du rock alternatif et les angoisses de la Guerre Froide.
Ce livre est une invitation au voyage à travers le temps et l’espace. Dans un
recueil d’histoires courtes, l’auteur se livre à des comparaisons improbables,
régressives, jouissives, sans jamais porter de jugement de valeur. Peu importe
que vous préfériez Catherine Deneuve ou Sophie Marceau, Johnny Hallyday ou
Jean-Jacques Goldman, les disques 33 tours ou les cassettes audio :
comparaison n’est pas raison. Celle-ci n’est qu’un prétexte, un prisme du
regard pour découvrir ou redécouvrir ces années si particulières.
bond dans le passé inspiré des expériences de Marty McFly et de Doc Brown dans
Retour vers le futur, Stéphan Bourcieu nous renvoie quarante ans en arrière,
dans les années Mitterrand, pour nous faire revivre, les émissions de Michel
Drucker, les boums du mercredi après-midi, les clips de Mylène Farmer, les
dérapages du rock alternatif et les angoisses de la Guerre Froide.
Ce livre est une invitation au voyage à travers le temps et l’espace. Dans un
recueil d’histoires courtes, l’auteur se livre à des comparaisons improbables,
régressives, jouissives, sans jamais porter de jugement de valeur. Peu importe
que vous préfériez Catherine Deneuve ou Sophie Marceau, Johnny Hallyday ou
Jean-Jacques Goldman, les disques 33 tours ou les cassettes audio :
comparaison n’est pas raison. Celle-ci n’est qu’un prétexte, un prisme du
regard pour découvrir ou redécouvrir ces années si particulières.
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