- EAN13
- 9791037112149
- Éditeur
- Table Ronde
- Date de publication
- 02/03/2023
- Collection
- Vermillon
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9791037112125
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Papier - Table Ronde 14,00
« La tour Eiffel scintille chaque nuit / je porte mes bottes de Tasmanie »,
écrit Guillaume Decourt dans ce détonnant recueil irrigué d’images ramenées du
monde entier, telles des légendes. Après une enfance passée entre Israël,
l’Allemagne, la Belgique et le Massif central, le poète a vécu à Mayotte, en
Grèce, et même en Nouvelle-Calédonie. De ses voyages et de bien d’autres
horizons réels ou inventés, il puise un matériau singulier, à la puissante
force évocatoire, distillé dans les instantanés que sont ces soixante-dix
dizains à la précision millimétrée. Percutant et concret, chaque poème peut se
lire comme une énigme et une micro-scène en forme de patchwork. La voix du
poète pose sa douce et drôle mélancolie dans un kaléidoscope de paysages
vivants et immémoriaux, peuplés de personnages charismatiques et d’oiseaux
exotiques. Cheminant dans la sophistication décalée de cette géographie
intérieure, on croise le fantôme d’une femme aimée, l’enfant qu’ils n’ont pas
eu, des rêves d’héroïsme et de bravoure masculine dépassée par l’épreuve des
années, un rien blasée. « Quelqu’un me manque, je ne sais pas qui » – « ce
soir je suis presque heureux de ma vie », constate celui dont la rime et la
rythmique penchent souvent du côté de l’espièglerie et de l’autodérision. Tant
que subsistent quelque part « un ciel très bleu et des citrons très jaunes »,
l’écriture est avant tout, avec Guillaume Decourt, un art de la gaité.
écrit Guillaume Decourt dans ce détonnant recueil irrigué d’images ramenées du
monde entier, telles des légendes. Après une enfance passée entre Israël,
l’Allemagne, la Belgique et le Massif central, le poète a vécu à Mayotte, en
Grèce, et même en Nouvelle-Calédonie. De ses voyages et de bien d’autres
horizons réels ou inventés, il puise un matériau singulier, à la puissante
force évocatoire, distillé dans les instantanés que sont ces soixante-dix
dizains à la précision millimétrée. Percutant et concret, chaque poème peut se
lire comme une énigme et une micro-scène en forme de patchwork. La voix du
poète pose sa douce et drôle mélancolie dans un kaléidoscope de paysages
vivants et immémoriaux, peuplés de personnages charismatiques et d’oiseaux
exotiques. Cheminant dans la sophistication décalée de cette géographie
intérieure, on croise le fantôme d’une femme aimée, l’enfant qu’ils n’ont pas
eu, des rêves d’héroïsme et de bravoure masculine dépassée par l’épreuve des
années, un rien blasée. « Quelqu’un me manque, je ne sais pas qui » – « ce
soir je suis presque heureux de ma vie », constate celui dont la rime et la
rythmique penchent souvent du côté de l’espièglerie et de l’autodérision. Tant
que subsistent quelque part « un ciel très bleu et des citrons très jaunes »,
l’écriture est avant tout, avec Guillaume Decourt, un art de la gaité.
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