- EAN13
- 9782381980249
- ISBN
- 978-2-38198-024-9
- Éditeur
- L'Arche
- Date de publication
- 03/12/2021
- Collection
- Scène ouverte
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 21 x 13,6 x 2,4 cm
- Poids
- 326 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Rêve d'automne et autres pièces
De Jon Fosse (Prix Nobel de littérature 2023)
Traduit par Terje Sinding (Grand prix SGDL / Ministère de la Culture pour l’œuvre de traduction 2024)
Préface de Irène Jacob
L'Arche
Scène ouverte
Offres
Un cimetière à la fin de l'automne.
Un homme et une femme se croisent sur un banc.
On devine une relation amoureuse passée – ou à venir ? Autour d’eux tout le monde s’affaire, s’agite, le temps semble s’accélérer, toujours en suspens. Que s’est-il passé ?
L’Arche vous propose dans ce volume : Rêve d’automne, Dors mon petit enfant, Et jamais nous ne serons séparés et Visites de Jon Fosse. Ces pièces écrites dans les années 1990 sont aujourd’hui des classiques du répertoire occidental contemporain. Peu importe les noms des personnages, grands cortèges d’anonymes qui traversent ses pièces, c’est la relation entre les individus qui intéresse Jon Fosse, les attachements sensibles entre les êtres, comme doués du seul langage. Des fantômes ou flottements de présences nichés dans les souvenirs, ces « voix des limbes » dont parlait Jacques Lassalle.
« Jon Fosse se dresse dans le paysage théâtral occidental comme un arbre solitaire, à la fois moderne et intemporel »
Leif Zern (Dans le clair-obscur, L’Arche, 2008).
Un homme et une femme se croisent sur un banc.
On devine une relation amoureuse passée – ou à venir ? Autour d’eux tout le monde s’affaire, s’agite, le temps semble s’accélérer, toujours en suspens. Que s’est-il passé ?
L’Arche vous propose dans ce volume : Rêve d’automne, Dors mon petit enfant, Et jamais nous ne serons séparés et Visites de Jon Fosse. Ces pièces écrites dans les années 1990 sont aujourd’hui des classiques du répertoire occidental contemporain. Peu importe les noms des personnages, grands cortèges d’anonymes qui traversent ses pièces, c’est la relation entre les individus qui intéresse Jon Fosse, les attachements sensibles entre les êtres, comme doués du seul langage. Des fantômes ou flottements de présences nichés dans les souvenirs, ces « voix des limbes » dont parlait Jacques Lassalle.
« Jon Fosse se dresse dans le paysage théâtral occidental comme un arbre solitaire, à la fois moderne et intemporel »
Leif Zern (Dans le clair-obscur, L’Arche, 2008).
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